samedi 15 mai 2010

L'écologie, un nouveau paganisme (Écrit par Cécile Auguste, rédaction de newzy le 26-04-2010 )

L'éruption du volcan islandais a encore remis en question la responsabilité de l'homme face aux soubresauts de Dame Nature. "Cette histoire du volcan nous montre à quel point nous sommes faibles face à la nature, explique Samuele Furfari. L'homme est ridicule devant elle." Pour l'auteur de "Dieu, l'Homme et la Nature", les écologistes de la décroissance s'apparentent à de nouveaux païens qui vénèrent leur idole, Gaïa, la déesse-terre. Dans son livre, ce chrétien engagé accuse certains écologistes de sacrifier l’Humanité pour sauver la planète. "Penser que nous disposons par nos propres moyens des ressources pour dompter la nature est utopique. Par contre, à force de vouloir trop la protéger, on retombe dans un paganisme que le judéo-christianisme était parvenu à éliminer."

L'homme, un gestionnaire responsable
"Il est juste et souhaitable de respecter et sauvegarder la nature mais nous ne devons pas forcément changer notre modèle de société", souligne ce haut fonctionnaire à la Commission européenne. Ce n'est pas en affirmant aux gens "abandonnez votre voiture et faites du vélo, que l'on va trouver des solutions", poursuit-il.
"Il faut rompre avec cette litanie du "tout va mal". De la catastrophe environnementaliste à la croissance de la population, l'homme a peur de tout alors que jusqu'à maintenant, il a toujours solutionné les problèmes." Et, ce grâce aux découvertes de la science, d'où l'importance à donner aux études idoines.
Samuele Furfari plaide également pour un retour aux valeurs du christianisme, qui redonnent confiance dans la Providence et le progrès.

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